Little Bob deviendra grand

Hier soir, comme je vous le disais il y a quelques jours, se tenait un festival à Chateauneuf la Forêt : HistoRocks ! Oh Yeah ! Avec un nom comme ça, ça promettait d'avance de jolies choses !

Après un picnic relativement très (pour ne pas dire trop) consistant, nous voilà partis tous les six en direction de la fameuse salle. Pas besoin de justificatif (comprendre : carte étudiant) pour payer le tarif réduit. Ca c'est parfait parce que très peu ont la carte étudiant parmis nous.

Nous voilà donc dans l'arène, enfin la salle. Face à nous la scène ou se produit déjà Jeff Zima.

Du blues tantôt reposant, tantot teinté de country, accompagnés de commentaires plutôt amusants d'un leader mi-français, mi-américain, qui du coup alterne les deux langages sans prévenir, au grand dam des non-anglicistes. Par contre, le batteur et le contre-bassiste/bassiste étaient sacrément doués. Tout comme le leader à la guitare. Pas mal dans l'ensemble mais une impression de "trop c'est trop" à la fin... Dommage !

On poursuit avec un groupe qu'on nous annonce comme "un monument" avec un nom pourtant paradoxal : Little Bob. Et en effet, un petit monsieur débarque sur scène. Avec son look de rocker, tout de cuir vétu, et son petit sourire de gentil papy, il fait une super impression ! La musique du groupe est très rock'n'roll, et nous donne tout de suite envie de danser. Du coup, tout le monde se déchaine et c'est la folie !
Enfin jusqu'à un certain point, parce que la fatigue commence à poindre et puis encore cette impression de toujours écouter la même chose... Comment ça je suis difficile ? ... Bon peut-être un peu.

Le troisième groupe... et bien, honte à nous, on n'est pas restés l'écouter. Ben oui il était déjà tard et impossible de s'assoir, donc on a préféré rentrer.

Bilan : une bonne soirée qui nous a permis de rencontrer de nouvelles personnes et de découvrir deux groupes sympas. Et surtout l'occasion de se retrouver après les départs en vacances de chacunes ! Moi je dis, que demande le peuple ?

PS : pardonnez-moi le jeu de mots stupide en titre...